Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

blablabylone language and culture group

28 mai 2010

EL ABUELO ..... de MALTA !!

Ayer he ido a ver una pelicula excelente, muy buena, de la novela homónima de Benito Pérez Galdós

Aqui va la cosa !!

Esa cosa llamada honor

Principios del siglo XX. Don Rodrigo, patriarca librepensador y cascarrabias, vuelve a España desde América, con los bolsillos vacíos. Está arruinado. Al llegar a su casa se enfrenta con su nuera, la condesa doña Lucrecia, quien públicamente era infiel a su marido, hijo de don Rodrigo. En su deseo de ser fiel al honor familiar, exige a la condesa que le revele cuál de sus dos nietas es legítima. En efecto, la otra es fruto de los amores de doña Lucrecia con un pintor. Pero la condesa, pensando en el bien de sus hijas, no quiere satisfacer la razonable curiosidad del suegro. Y se dedica a hacerle la vida imposible, hasta el punto de tratar de recluirle en un convento.

 

Si teneis ocasion de verla, HAY QUE VERLA !

Publicité
25 avril 2010

WE LIKE IT SO MUCH!!!!!!! NOT TO BE MISSED!

« Agora », un film sur l’extinction du phare de la connaissance d’Alexandrie et la philosophe Hypatie


 


Alexandrie - Il est de ces films épiques qui sans travestir la réalité historique ne manquent pas de placer le spectateur dans un monde du passé dont les éléments de réflexion demeurent intemporels. « Agora » est de ceux-là sans conteste, et bien qu’il passa malheureusement inaperçu lors de sa sortie sur les écrans Français au début de cette année, ce film hispano-maltais dirigé par Alejandro Amenábar est une véritable perle qu’il ne faudrait pas manquer lors de sa diffusion sur d’autres supports. La maîtrise cinématographique aidant, l’histoire d’Hypatie d’Alexandrie ne peut laisser indifférente de par le message délivré à travers les siècles.

Un contexte religieux tumultueux

Théodose Ier, dernier Empereur d’un Empire Romain autrefois unifié s’étendant des colonnes d’Hercules à l’Ibérie caucasienne, scella en l’an 391 le sort des communautés païennes en promulguant l’édit intitulé nemo se hostiis polluat insontem victimam caedat (Théodose Ier sera aussi le fossoyeur des Jeux Olympiques Antiques en proclamant leur interdiction pour prosélytisme païen en 393). Les cultes païens devinrent du jour au lendemain interdits et les temples fermés à la vénération publique des Dieux Anciens. Si Rome était de par sa place symbolique dans l’Histoire de l’Empire la première visée par ces mesures brusques comme discriminatoires, c’est Alexandrie, un foyer civilisationnel riche des trésors contenus au sein de sa bibliothèque qui devait subir le plus durement les conditions de cette disposition impériale.

Or à la même période professait au sein de la rayonnante cité méditerranéenne une femme dont l’on saluait tout autant la grande beauté que l’étendue des connaissances scientifiques : Hypatie. Fille de Théon directeur du musée d’Alexandrie, institut de savoir à travers sa fameuse bibliothèque comme lieu de cérémonie puisque servant à célébrer les cultes d’Osiris, d’Isis et de Sérapis (d’où le nom de sérapéum pour désigner les temples lui étant dédiés).

Hypatie en tant qu’adepte de la pensée néoplatonicienne, s’employait à propager la connaissance antique à ses disciples tout en menant ses travaux sur les mathématiques, l’astronomie et la philosophie. Pendant que sur l’Agora la tension montait crescendo entre chrétiens et païens. Les premiers enhardis par leur force numérique de plus en plus consistante et les gestes conciliants puis adjuvants du pouvoir politique, les seconds de plus en plus anémiés et inconscients du ressort fondamental de ce monothéisme à vocation universelle (le confondant à tort sur ce point avec le judaïsme qu’ils connaissaient depuis longue date).

C’est à ce moment précis que le réalisateur chilien décide de nous emmener dans une Alexandrie magnifiquement reconstituée offrant pour le plus grand plaisir des yeux son phare grandiose et son impressionnante bibliothèque.

Bataille pour les âmes et la connaissance

Le parti pris d’Amenábar l’emmène à s’immiscer dans l’intimité des relations entre Hypatie et ses disciples dont on sait par des sources vérifiées que l’un deviendra évêque de Ptolémaïs (cité sise en Cyrénaïque) et l’autre préfet d’Alexandrie (gouverneur de l’Egypte), continuant malgré leur conversion à entretenir de très respectueuses relations avec leur ancien professeur.

Tout le talent du réalisateur est justement de ne pas franchir la ligne rouge versant dans la fiction en proposant une oeuvre collant aux faits et (nombreux) personnages historiques. Non sans amener le spectateur à s’interroger sur plusieurs thèmes sans pour autant tomber dans une logorrhée intellectuellisante à l’extrême. Tout comme il nous amène à se replonger avec délice dans les recherches scientifiques et philosophiques fondamentales de cette époque où l’explication de l’univers pouvait être la quête d’une vie. C’est notamment l’un des temps forts du film où Hypatie sommée par les dignitaires de l’Eglise de choisir quelle religion elle doit embrasser répondra que son seul choix ne saurait être que la philosophie.

Îlot de réflexion au sein d’une Alexandrie en proie à la pression comminatoire d’une religion rompant avec la tolérance habituelle des païens, le musée édifié par Ptolémée Ier sera comme une flamme vacillante au milieu d’un tourbillon de fanatisme illustré par les imprécations du patriarche Théophile puis de son neveu l’évêque Cyrille fort de la mobilisation de ses moines du désert de Nitrie, appelés parabolani (ou parabolants en français). Le couvercle qui menace d’étouffer Alexandrie s’avance inexorablement tout le long du film, provoquant chez le spectateur un sentiment latent d’asphyxie qui trouvera un achèvement symbolique en fin de métrage.

Autour de ce décor, les acteurs s’en donnent à cœur joie tant on les sent bien en phase avec le sujet : que cela soit Michael Lonsdale que l’on retrouve avec plaisir dans le rôle clef de Théon, Max Minghella campant de façon efficace un esclave christianisé mais torturé en son for intérieur, Oscar Isaac interprétant avec réussite le gouverneur Romain esseulé au centre de l’intrigue et bien entendu Rachel Weisz que la lourde tâche d’endosser le rôle principal n’a pas écrasé pour notre plus grand plaisir de cinéphile. Hypatie ne peut dès lors que nous apparaître comme une femme séduisante à plusieurs égards dépassant le strict cadre de la beauté physique en dégageant ce charisme hors pair de par sa liberté de pensée comme par sa soif de culture le tout couronné par la fermeté de son courage et ce alors que le monde bascule autour d’elle.

Extinction des feux du savoir

Que l’on songe au saccage de la bibliothèque d’Alexandrie par les chrétiens du Bas Empire Romain ou au dynamitage des Bouddhas de Bâmiyân par les talibans au XXe siècle, l’on ne peut s’empêcher d’opérer un parallèle qui n’a au fond rien de troublant.

La destruction des savoirs de la bibliothèque d’Alexandrie restera une des plus profondes pertes pour l’humanité par la volatilisation de la somme de savoirs qu’elle contenait. Encore que cette catastrophe n’est pas clairement datée, ainsi le grand érudit Arabe Ibn Khaldoun imputera de nombreux siècles plus tard la destruction de cette même bibliothèque au calife Omar ibn al-Khattâb. Encore que la fermeture de l’école puis le saccage du temple permet d’envisager des atteintes préjudiciables dès le début du Ve siècle.

Difficile de réellement trancher quant au destin de cet entrepôt de la connaissance (à tout le moins fut-il sérieusement malmené en ce début de Ve siècle) mais il est clair que dans le délabrement généralisé de l’Empire Romain, le rideau se fermait sur une page de l’Histoire pour entrer dans une nouvelle ère pleine d’incertitudes comme de repli intellectuel.

Drame historique efficace, humaniste et esthétique le tout servi par la richesse des thèmes traités, « Agora » a bien droit à une session de rattrapage sur DVD, Blu-Ray (sortie sur ces supports en mai 2010) ou lors de quinzaines du cinéma hispanophone.

Yannick Harrel

23 avril 2010

Mdina and the middle age(malta)

slaves_maltamujeres_de_otros_tiemposcalles_de_mdinacarrittokhnightsmdina_knights

9 février 2010

MALTA- dawn in Valletta

desde_el_bus_vallettavalletta_al_albaviejos_bares    o_cruz_de_malta_     viejos_negocios  calles_de_vallettavalletta_desde_el_barcobalconesrepublic_street

 

9 février 2010

Nos hemos reido....... y hemos apreciado a "the horn of plenty"

El cuerno de la abundancia ou la corne de l'abondance de

       

                                                      Juan Carlos Tabío, 2008


Le cinéma cubain est toujours bien vivant (une douzaine de productions en 2009) même si les écrans français ne le montrent que rarement. Proche collaborateur et co-réalisateur des films de Tomas Gutierrez Alea ( fresa y chocolate, se permuta..) à partir du milieu des années 90, Juan Carlos Tabio poursuit, depuis la mort de ce dernier, une carrière en solo marquée par cette auto-dérision qui a fait les meilleurs films cubains de l'histoire (Les douze chaises ou Mort d'un bureaucrate, par exemple, de Gutierrez Alea).
C'est un conte sans prétention, où Tabio se permet d'égratigner gentiment ses compatriotes et ses dirigeants. L'anecdote y prend le pas sur l'analyse, mais il est agréable de suivre cette histoire très latine, sensuelle et musicale qui décrit des comportements humains (en particulier l'avidité) qui, au delà du contexte cubain, a des résonances universelles. Il est bien dommage que le film ne soit visible que dans 6 salles en France (696 pour Sherlock Holmes).


Publicité
28 novembre 2009

Abbiamo apprezzato quasi con gioia, rabbia e impotenza .CAPITALISM : a love story

CAPITALISM : a love story

Michael MOORE - documentaire USA 2009-avec des traders fous, des agents immobiliers sans scrupules, des familles ruinées, des sénateurs corrompus...

Les mauvaises langues prétendaient qu’il avait tout dit en quelques documentaires à succès, que ses recettes étaient usées, que ses dénonciations tournaient en rond, qu’une Palme d’Or et un Oscar lui avaient donné la grosse tête et fait perdre de sa virulence… Tout faux ! Michael Moore revient et il va faire taire tous les blasés, en nous livrant son film le plus abouti, le plus cohérent.
Depuis près de 20 ans, le gros binoclard à la casquette de base-ball creuse inlassablement le même sillon, il démonte un système absurde qui gouverne le monde et nos vies : le capitalisme dans tout son cynisme. Mais cette fois, Capitalism : a love story débarque avec des alliés de poids : la crise et ses responsables, qui ont dévasté en quelques mois les vies de ceux qui croyaient que le système, malgré ses lacunes, était le seul qui pouvait leur garantir un certain confort matériel. Et là paf ! Des millions d’Américains sont dans la plus grande misère uniquement par la faute d’une infime minorité de flambeurs de casino que l’on nomme les banquiers, qui ont joué avec l’argent des citoyens.

Pour introduire le film, Michael Moore utilise comme parabole une comparaison éclairante avec l’Empire romain, à travers des extraits d’un vieux documentaire historique de la BBC. Le paradoxe de l’Empire romain est que, quelques temps avant sa chute au ve siècle sous le coup d’une invasion barbare qui plongea le monde dans le Moyen Age, il était au faîte de sa puissance économique, militaire, géopolitique. Il semblait contrôler le monde connu, et son équilibre social profondément inégalitaire reposait entre autres sur la consolation des plus démunis dans le divertissement (« du pain et des jeux »). Et finalement ce colosse aux pieds d’argile s’effondra d’un coup, sous les assauts des marges extérieures qui voulaient leur part d’opulence, et par la déliquescence d’une société qui avait oublié toutes les valeurs d’honneur et d’égalité, fondatrices de la République romaine. Alors, si vous vous téléportez 1500 ans plus tard, ça ne vous évoque rien, et peut-être en filigrane un petit avant goût de notre futur ?
Au-delà de cette petite leçon d’histoire comparée très éclairante, Michael Moore brille dans ce qu’il fait le mieux : mettre en évidence des comportements et des dérives qui font bondir. Entre autres, saviez-vous que certaines grandes entreprises américaines misent sur la mauvaise santé de leurs employés pour souscrire dans leur dos des assurances-vie ? On découvre cette magouille sordide dans une séquence bouleversante, en rendant visite à des familles endeuillées, partagées entre peine et colère. Moore nous fait rencontrer aussi le responsable de « Vautour Immobilier », agence spécialisée dans la spéculation sur les maisons saisies aux classes moyennes. Il montre des hommes politiques désabusés qui reconnaissent ne rien savoir de l’utilisation des millions de dollars versés par l’État fédéral aux banques coupables de la crise. Il nous dresse le portrait d’un pays en plein chaos, en plein désarroi existentiel. Homme de bon sens, il s’interroge sur des évidences : comment 1% de la population la plus favorisée parvient à imposer son modèle aux 99% à son service ? Alors que nous sommes attachés au principe d’une démocratie électorale, comment acceptons nous 8h par jour, à travers le fonctionnement de l’entreprise, une totale tyrannie oligarchique ?

Mais surtout, cette fois ci, Michael Moore ouvre une porte de sortie de l’enfer libéral, avec une solution jamais évoquée aux Etats-Unis : l’autogestion des entreprises, à travers l’exemple d’une boîte de robotique qui pratique l’égalité des salaires (et ils sont largement au dessus du SMIC !). Alors l’espoir renaît et on sort de la salle avec une pêche d’enfer et de furieuses envies coopératives.

25 novembre 2009

The world's top 10 party towns

The world's top 10 party towns 

November 19, 2009

Lonely Planet lists the world's top 10 party cities in its new guide, the 1000 Ultimate Experiences. Tel Aviv (pictured) makes the list. Click for more photos

Lonely Planet lists the world's top 10 party cities in its new guide, the 1000 Ultimate Experiences. Tel Aviv (pictured) makes the list. Photo: Hanan Isachar/Lonely Planet

  • Looking to tread terrain still untouched by foreign stag expeditions? Want to unwind in luxury or drink up the sun? Lonely Planet lists the world's top 10 party cities in its new guide, the 1000 Ultimate Experiences.

1. BELGRADE, SERBIA

The long years of bad press that kept Serbia off the map have now passed, and foreigners are now realizing what locals always knew - that Belgrade really rocks. With an exuberant population and its legacy as an intellectual hangout, Belgrade offers varied nightlife, ranging from eclectic watering holes for those in the know, to the busy restaurants and bars of the Skadarlija district and the summer clubs in barges on the Sava and Danube Rivers.

2. MONTREAL, CANADA

Easygoing Montreal is increasingly popular with foreign travellers, who enjoy the joie de vivre of a place with bilingual ambience, good local beer and even skiing at nearby Mt Royal. Montreal's irrepressible student population and atmospheric old quarter give the city a light-hearted, Bohemian air. There are Old World cafes, cool jazz clubs, packed discos and late bars to choose from, plus a popular comedy festival each July.

3. BUENOS AIRES, ARGENTINA

With its unique mix of European and South American cultures, and a native passion for dance, the Argentine capital provides fertile ground for lively nightlife. There's an emphasis on fashion and a diverse range of entertainment offerings in Buenos Aires' barrios. Relax at a swinging jazz club or dance all night by the waterfront; some clubs and cultural centres offer classes so you can learn to tango or salsa like a local. There's everything from Irish pubs and local folk to house parties.

4. DUBAI, UNITED ARAB EMIRATES

For those who can afford it, the world capital of conspicuous consumption is unbeatable. Dubai's extravagance is way over the top, with ultra luxury hotels on artificial islands, slick modern malls and tonnes of precious metals glittering in shops. Yet Dubai is also a cosmopolitan place, so if you're not invited to party on board the private yacht of a celebrity, you can always mingle with people from around the world in the swank bars and clubs of the Middle East's most decadent desert getaway.

5. THESSALONIKI, GREECE

Greece's second city has style, with plenty of fashionable shops and salons. Thessaloniki boasts great nightlife during those long months when more famous Greek destinations are deep in hibernation, from arty cafes to Latin bars to discos pumping out house music to salacious bouzoukia (clubs featuring twangy, Eastern-flavored Greek folk-pop). That's plenty to keep you occupied after you've traversed the sublime Byzantine churches, museums and ruins. It's not cheap, but no Greek city save Athens compares.

6. LA PAZ, BOLIVIA

Don't forget that liquor goes to the head quickly in the Bolivian capital, well over 3000 m above sea level. Get hot and sweaty in one of many slick nightclubs, which cater to chic locals and the foreign contingent. The natives are friendly and, with a steady stream of travellers, it's a town of many tongues. World-class bars, swank cafes and restaurants serenading with traditional music round out the offerings. Buy traditional Aymara herbs at the Witches' Market (Mercado de Brujas) to ward off hangovers and bothersome spirits.

7. CAPE TOWN, SOUTH AFRICA

With the 2010 World Cup bringing a global audience to South Africa, the partying will only get harder as travellers converge on a city already well known for nightlife. Luxuriate on some of the world's best beaches by day and kick back under the moonlight at suave cocktail bars by night. Two hours east, in the Indian Ocean, lies the elegant beach village of Mossel Bay, with more great beaches and chic flair. Visitors must try some of the wines crafted by South Africa's world-renowned vintners, either at a Cape Town bar or at one of several wineries nearby.

8. BAKU, AZERBAIJAN

Since the 1990s, when it started taking off as a hub for Caspian Sea oil and gas, Baku has been transformed and this newfound economic stimulation hasn't failed to influence urban nightlife. The cash injection from energy projects, enhanced by the presence of thousands of international oil workers and wealthy consultants, has turned Baku into an oasis of excess in an otherwise fairly traditional Muslim country.

9. AUCKLAND, NEW ZEALAND

Myriad cafes, bars and dinner clubs cater to a hip young clientele. Try the glittering waterfront for smart bars, and hit the happening clubs (some stay open 24 hours). There are plenty of live shows on offer too, from folk in Devonport to louder sounds at Mt Eden. And you can always walk off the Sky Tower - the southern hemisphere's tallest structure - a 328m cable-controlled drop in which jumpers reach a speed of 85kph.

10. TEL AVIV, ISRAEL

Like elsewhere in the Mediterranean, Israel's second largest city gets going late. The endless bars, pubs and cocktail venues start to fill up by midnight, from which point the nightclubs get revved up with dancing till dawn. Nowadays an international crowd joins Israelis for a mixed bag of funk, pop, house and techno at the city's dozens of entertainment hotspots. Tel Aviv has a relaxed air, and prides itself on being gay-friendly and outgoing

23 novembre 2009

Belgrado resucitada!

kupon_za_so_1993danube_from_beogradfashion_weekst_savatrad_bosnianmeglio_che_la_fashion_weekliubavmusicos_de_zemunun_caledonien_in_the_ruski_caffeabiti_trad2kalagtrad_serbian_house1_

BEOGRAD, Liubav, november 2009

What can I say .....mmmmmhhhhh  ......I can say  as a coffee lover that it's the only place in Europe a part Italy where I have tried the best italian espresso! Just go and walk around Knoza Mihaila, obilicev venac,kalamegdan park, local painting galleries, sava river, vracac, zemun, and so on, you will be surprised of the thousand of coffee bars, lounge bars, lively balkan music restaurant of good quality, best service  and price! One thing: many bookstores by meters square, if you'd like to learn some serbian or cyrillic writing ! Yes belgrad resist anyway in spite of the 50 000  depleted uranium bombs launched by NATO and its "humanitarian intervention" just 10 years ago. Even if many things have been changed, I will hope that this people will resist and will not sell their souls to the devil......

abiti_trad_1abiti_tradmeglio_che_la_fashion_weektraditional_serbian_housetrad_serbianabiti_tradizionali

7 novembre 2009

Versos sencillos ......... de José Marti

003Poesía de José Martí

Versos Sencillos-1891- Poeta y padre de la independencia cubana

I-YO SOY UN HOMBRE SINCERO...

Yo soy un hombre sincero
De donde crece la palma,
Y antes de morirme quiero
Echar mis versos del alma.

   Yo vengo de todas partes,
Y hacia todas partes voy:
Arte soy entre las artes,
En los montes, monte soy.

   Yo sé los nombres extraños
De las yerbas y las flores,
Y de mortales engaños,
Y de sublimes dolores.

   Yo he visto en la noche oscura
Llover sobre mi cabeza
Los rayos de lumbre pura
De la divina belleza.

   Alas nacer vi en los hombros
De las mujeres hermosas:
Y salir de los escombros,
Volando las mariposas.

   He visto vivir a un hombre
Con el puñal al costado,
Sin decir jamás el nombre
De aquella que lo ha matado.

   Rápida, como un reflejo,
Dos veces vi el alma, dos:
Cuando murió el pobre viejo(*),
Cuando ella me dijo adiós(**).

   Temblé una vez —en la reja,
A la entrada de la viña,—
Cuando la bárbara abeja
Picó en la frente a mi niña.

   Gocé una vez, de tal suerte
Que gocé cual nunca:—cuando
La sentencia de mi muerte
Leyó el alcalde llorando.

   Oigo un suspiro, a través
De las tierras y la mar,
Y no es un suspiro,—es
Que mi hijo va a despertar.

   Si dicen que del joyero
Tome la joya mejor,
Tomo a un amigo sincero
Y pongo a un lado el amor.

   Yo he visto al águila herida
Volar al azul sereno,
Y morir en su guarida
La vibora del veneno.

   Yo sé bien que cuando el mundo
Cede, lívido, al descanso,
Sobre el silencio profundo
Murmura el arroyo manso.

   Yo he puesto la mano osada,
De horror y júbilo yerta,
Sobre la estrella apagada
Que cayó frente a mi puerta.

   Oculto en mi pecho bravo
La pena que me lo hiere:
El hijo de un pueblo esclavo
Vive por él, calla y muere.

   Todo es hermoso y constante,
Todo es música y razón,
Y todo, como el diamante,
Antes que luz es carbón.

   Yo sé que el necio se entierra
Con gran lujo y con gran llanto.
Y que no hay fruta en la tierra
Como la del camposanto.

   Callo, y entiendo, y me quito
La pompa del rimador:
Cuelgo de un árbol marchito
Mi muceta de doctor

4 novembre 2009

Death of Claude Levi Strauss

Paris,

He was considered  the "father of modern anthropology". He died at the age of 100. He wrote among other interesting observations that all cultures where the same, that a culture can't be superior to another. Every single culture in this world has a rationality ( because all cultures, have laws, rules, organization, myths, religion, tabous, ecc..) and all have different rationality.

Thanks claude !

Publicité
1 2 > >>
Publicité
Albums Photos
Newsletter
Derniers commentaires
blablabylone language and culture group
  • Blablabylone est une association d’échanges linguistiques ayant pour objectif le développement du multilinguisme, la rencontre entre expats et résidents, l'échange d'expériences à l'international, la discussion de thèmes variés dans la convivialité!
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Archives
Publicité